Mesdames, il vous faut autre chose, et s’il m’arrive, chemin faisant, de blâmer nos auteurs contemporains, tout en m’inclinant devant l’admirable talent de plusieurs d’entre eux, c’est que je n’aurai pas le courage complet de mon opinion, car mon opinion est que vous êtes les vraies, les seules coupables. Raisonnons : on écrit en vue du succès ; or, il n’y a pas deux routes pour arriver au succès. […] Il faudra bien pourtant que nous en arrivions à ces terribles mots...