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109. (1852) Molière — La Fontaine (Histoire de la littérature française, livre V, chap. I) pp. 333-352

Avant d’arriver à cette puissance souveraine du talent, Molière avait passé par un long noviciat d’épreuves morales et d’observations. […] Hâtons-nous de passer outre et d’arriver aux fables. […] Certes, le bon La Fontaine a bien sommeillé quelquefois comme le bon Homère ; mais, comme il lui arrive souvent de veiller les paupières closes, il faut y prendre garde, tant sa bonhomie abonde en malices, tant sa simplicité couvre d’artifices.

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