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105. (1881) Molière et le Misanthrope pp. 1-83

Je n’oserais pas trop l’affirmer, car je ne me suis rendu qu’à contre cœur, et la considération qui m’a arrêté ne me semble pas très solide au fond. […] Nous avons affaire à l’observateur le plus profond qu’il ait existé jamais et en même temps, par une chance inouïe, au plus intarissable, au plus verveux, au plus fort des auteurs comiques : cela ne nous arrête pas, et ce que nous voulons trouver dans son œuvre, c’est la clef de sa chambre à coucher, l’écho de son alcôve, et de ses sanglots surtout. […] Faites, prenez parti, que rien ne vous arrête Et ne me rompez pas davantage la tête !

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