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203. (1843) Le monument de Molière précédé de l’Histoire du monument élevé à Molière par M. Aimé Martin pp. 5-33

Mais bientôt un désir inconnu le pénètre : Tout ce que l’homme apprend, il voudrait le connaître, Il doute de lui-même et brûle de savoir Comment d’autres ont vu ce qu’il croit entrevoir. […] Là, de l’antiquité Il apprend à goûter la sévère beauté ; Il parle, dans ce monde où l’étude l’exile, La langue de Platon et celle de Virgile ; Il interroge et suit, comme ses précurseurs, Les poètes hardis et les profonds penseurs.

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