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88. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

Lorsque Molière s’avisa de vouloir épouser la Grésinde, on s’aperçut qu’elle n’avait point d’état civil. […] Dans la cérémonie qui termine la pièce, il eut une convulsion dont beaucoup de spectateurs s’aperçurent et qu’il essaya de dissimuler par un rire forcé. […] Il lui manquait quelque chose pour assembler, même en peinture, ces deux grandeurs morales qui le séduisaient et en former le tout qu’apercevait vaguement et douloureusement l’impuissance de son génie. […] Cependant, lorsque l’on écoute attentivement ces admirateurs et ces dévots, l’on s’aperçoit assez vite que le sens du poème leur demeure enveloppé. […] Mais Philinte n’est soumis à aucune épreuve, et l’on n’aperçoit point qu’il ait à dompter aucune passion.

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