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39. (1870) La philosophie dans le théâtre de Molière (Revue chrétienne) pp. 326-347

La première, en effet, l’âme, distincte du corps, et si supérieure au corps qu’elle ne semble plus guère s’apercevoir de ses rapports avec lui, a le malheur de n’être plus soutenue que par Armande. […] Et Ton ne s’aperçoit jamais qu’on ait un corps (34). […] Il ne devait l’atteindre que rarement, dans ces jours où brisé par la lutte, le choc même de ses passions venait illuminer comme d’un éclair le fond de son cœur, et lui laisser enfin apercevoir le vide désespérant qu’il ne pouvait combler.

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