Si l’on entend par là que la nouvelle comédie est plus régulière que l’ancienne, plus correcte dans sa forme, plus polie dans ses mœurs, j’en conviendrai sans peine. […] La nouvelle comédie n’est pas, comme l’ancienne, purement comique et poétique ; c’est un mélange de gaieté et de sérieux, de poésie et de prose. […] L’ancienne comédie faisait des caricatures, la comédie nouvelle fait des portraits. […] Le rôle du bouffon est l’héritage de l’ancienne comédie. […] Schlegel oppose aux portraits de la comédie nouvelle les caricatures de l’ancienne. — Septième leçon.