Dans la premiere piece, l’héroïne est remarquable par le nombre d’amants qu’elle amuse. […] Dans la seconde on voit des femmes au désespoir que l’été leur ait enlevé les plumets ; en attendant le retour de l’armée, elles s’amusent avec des Abbés, des Financiers, des Maîtres à chanter : par conséquent, elle est très bien intitulée.