Il dit, de la gloire, qu’elle expose ses amoureux à la calomnie, et des plaisirs, qu’ils donnent, trop de peine. […] Où êtes-vous, Gélie, amoureuse tour à tour de Roscius, de Bathylle, du sauteur Cobus ou de Dracon le joueur de flûte ? […] Elle n’avait pas, tant s’en faut, l’audace de cette infidèle, qui disait à son amoureux : « Vous ne m’aimez plus, vous croyez plutôt ce que vous voyez, que ce que je vous dis ! […] C’est l’histoire et c’est le conte des amoureux qui se séparent, l’homme et la femme bien décidés à ne pas se revoir, mais chacun d’eux voulant laisser à son complice, la meilleure idée de son esprit et de sa personne.