Elle ne veut point être maîtresse, mais amie d’un prince à qui il faut faire perdre l’habitude des plaisirs désordonnés et apprendre ceux de l’amitié. […] « L’amie (madame de Maintenon) est encore plus triomphante que celle-ci (madame de Montespan) : tout est comme soumis à son empire. […] La famille de l’ami (la famille royale) alla au-devant de lui ; on donna du temps aux bienséances, mais beaucoup plus à la pure et simple amitié qui occupa tout le soir. […] La femme de l’ami (la reine) a fort pleuré. […] disaient ses parents et ses amis, même les plus vertueux ; madame de Montespan, par sa naissance et par sa charge, doit y être.