Beaucoup de mes amis les connaissent ; j’en ai d’ailleurs donné quelques-uns pour le centenaire de Molière au Théâtre-Ventadour. […] Mais comme un homme n’est jamais pauvre tant qu’il a des amis, ayant Molière pour estimateur, et toute la maison des Béjart pour amie, en dépit du diable, de la fortune, et de tout ce peuple hébraïque, je me vis plus riche et plus content que jamais, car ces généreuses personnes ne se contentèrent pas de m’assister comme ami, elles me voulurent traiter comme parent. […] C’était le modèle du galant homme, aussi Molière en fit-il son ami. […] Elle dit à ses amis que c’était le lendemain le premier jour du printemps et qu’elle le verrait dans l’autre monde. […] Ses bonnes amies dirent tout haut qu’elle se vantait beaucoup en disant qu’elle apprendrait à lire à ses enfants, puisqu’elle n’avait jamais su lire.