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122. (1867) La morale de Molière « CHAPITRE XII. Réflexions Générales. » pp. 241-265

Le premier est Boileau, qui est touchant dans son admiration naïve pour son ami, et qui l’a pleuré avec des accents qui vont au cœur. […] S’il succomba à des faiblesses humaines, il sut être un mari, non-seulement loyal et bon, mais indulgent et pardonnant ; il sut être un ami rare, et, pour tous ceux qu’il conduisait, un protecteur charitable et dévoué jusqu’à la mort825. […] Ce qui peut être innocent aux champs prend souvent dans les grandes cités, par la surexcitation de l’intelligence et des sens, un caractère funeste, aussi bien que le jeu, aussi bien que le verre de vin bu. librement entre amis. […] Taschereau ne défend Molière contre Fénelon qu’avec une faiblesse inexcusable de la part d’un ami de Molière et des lettres (Histoire de la vie et des ouvrages de Molière, liv.

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