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205. (1725) Vie de l’auteur (Les Œuvres de Monsieur de Molière) [graphies originales] pp. 8-116

Qu’une Comedienne rende à un grand Seigneur les devoirs de politesse qui lui sont dûs, il n’y a point de misericorde, c’est son amant. […] Il courut aussi tôt faire de grandes plaintes à sa femme, en lui reprochant les grands soins avec lesquels il l’avoit élevée ; la passion qu’il avoit étoufée ; les manieres d’agir qui étoient plutôt d’un amant que d’un mari ; & que pour recompense de tant de bontez, elle le rendoit la risée de toute la Cour.

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