Mon mari m’aborda avec cet air content de soi qu’il portoit toujours sur son visage ; & moi, pour lui cacher mon embarras, je courus vîte l’embrasser avec un air de surprise & de joie. […] Je suis la meilleure femme du monde. — Quel air ingénu ! […] Votre air, mon cher Monsieur ; ne nous faites pas languir. […] l’air surpasse les paroles ! […] De même qu’un taureau bondissant dans les airs . . .