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187. (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246

Rien de mieux sans doute ; mais d’abord l’anecdote est un peu suspecte : c’est MmeCampan qui, la première, l’a racontée dans ses Mémoires, publiés en 1822, un siècle et demi après la mort de Molière, et elle dit la tenir de son père, qui la tenait d’un vieux médecin de la cour… Tout cela ne donne pas à cette histoire un grand air d’authenticité.

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