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12. (1900) Quarante ans de théâtre. [II]. Molière et la comédie classique pp. 3-392

Il lui donne l’air d’un homme frappé, ahuri. […] L’air y ajoute encore ; cet air qui a été imaginé par Régnier et repris par Coquelin dériderait un mort. […] Ce n’est pas l’air de Molière ! […] Il sursaute, et son air effaré les réjouit. […] Ils sont là en l’air, pour ainsi dire, et frappent à vide.

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