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25. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre premier. Ce que devient l’esprit mal dépensé » pp. 1-92

J’aime bien mieux sa prose que ses vers. […] Elle aimait Molière comme elle aimait M. le prince de Condé, sachant très bien que des amitiés pareilles lui feraient pardonner ses amours. […] le sacrifice est une grande façon d’aimer. […] le malheureux, n’était-ce pas pour approcher encore de celle qu’il aimait toujours, pour lui dire encore : Je vous aime ! […] Donc aimez-la, pour ses beaux jours remplis de bienveillance et de sourires ; aimez-la pour sa vieillesse élégante et sage, pour son parler, pour son esprit, pour son langage ; aimez-la, parce qu’elle a beaucoup aimé !

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