Calaïs est charmant ; mais je n’aime que vous : Ingrat, mon cœur vous justifie. […] Cloris, qu’on vante si fort, M’aime d’une ardeur fidelle : Si ses yeux vouloient ma mort, Je mourrois content pour elle. […] plus que jamais aimons-nous ; Et vivons & mourons en des liens si doux ! […] Faut-il t’aimer malgré moi ! […] Aimons-nous toujours sans partage, Que l’amour soit notre loi.