« La Métromanie, me dira-t-on, fait naître les scenes amoureuses entre Dorante & Lucile, puisque cette derniere a un tic de famille, qu’elle aime les vers avec passion, & que si Dorante lui plaît, c’est par le secours des vers qu’il emprunte de M. […] Il aime mieux se passer de fortune & ne pas se mésallier ; ou si la misere le contraint à déroger, il n’a pas la bassesse de mentir aussi indignement que le Comte, & d’obliger son domestique à soutenir le mensonge. […] Cléante paroît, & Marianne le reconnoît pour l’amant qu’elle aime.