/ 275
132. (1898) Molière jugé par Stendhal pp. -134

S’il est vrai qu’on aimât la farce, dans la jeunesse de Louis XIV, nous sommes à l’autre bout du clavier. […] Nous aimons et nous conférons notre protection. […] L’on rit et l’on aime Silvestre. […] Moi, aimer une jeune et belle personne qui a l’honneur d’être la fille de M. le baron de Sotenville ! […] Elle n’est pas mal, cet homme l’aimait, mais à force de l’accabler de pédanterie, elle parvient à le dégoûter.

/ 275