Le moine, bon dans un conte, était inadmissible sur la scène, surtout en pays d’inquisition ; c’était d’ailleurs une excellente idée dramatique, que d’avoir substitué à ce personnage indifférent, désintéressé, un personnage qui agît contre lui-même, qui travaillât à sa propre ruine. […] Le fait est ainsi raconté par l’auteur du Bolœana, qui prétend avoir appris de la bouche même de Boileau les anecdotes dont se compose son recueil, et, en particulier, celle dont il s’agit ici.