Cléante se défend de donner dans le libertinage, mais nous verrons que la religion qu’il admire n’oblige en somme les humains qu’à bien vivre et ne s’appelle catholicisme que par occasion. […] C’est que cet Alceste dont Molière comprend, admire, partage l’Idéal, a méconnu les nécessités terrestres et positives.