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76. (1853) Des influences royales en littérature (Revue des deux mondes) pp. 1229-1246

Qu’on admire. et rien n’est plus juste, les séductions infinies du style de ces deux grands hommes, leurs écrits ne sont pas inférieurs peut-être à ceux de leurs devanciers, mais ils dénoncent autour d’eux une infériorité réelle, une décadence qui va aller en s’augmentant. […] Qu’on l’admire pour avoir recueilli cette moisson glorieuse qu’il n’a pas semée, soit ; mais qu’on daigne alors nous expliquer pourquoi à cette fécondité puissante succède une si surprenante stérilité.

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