Cicéron, grand philosophe, grand orateur, grand citoyen, mais assez méchant diseur de bons mots, admire beaucoup ceux de Plaute. […] Tout ce qu’on admire le plus dans Molière découle de cette source. […] Quelques-uns ont été admirés, qui sont plus factices que naturels, qui ressemblent plus à une subtile combinaison du poète, qu’à un événement qui résulte de l’action et la termine. […] « Boileau ne se lassait point d’admirer Molière… Il disait que la nature semblait lui avoir révélé tous ses secrets, du moins pour ce qui regarde les mœurs et les caractères des hommes. » (Bolœna de Monchesnay.)