La plus fameuse de ce nombre est L’Avare ; malheureusement les manuscrits de l’Aulularia de Plaute sont tronques à la fin, mais, dans ce que nous en connaissons, il reste encore assez à admirer. […] Aussi, j’admire dans ces productions légères, un mouvement, une vie, un attrait, que je ne trouve souvent pas en France dans des ouvrages beaucoup plus soignés.