Du point où doit commencer l’action d’une fable comique. […] Les uns veulent qu’un Poëte dramatique, partageant sa fable en deux parties égales, mette la premiere dans l’avant-scene, & la seconde en mouvement : les autres ne veulent qu’un tiers d’action. […] Clarice fait un faux pas, accompagné d’un cri ; le galant Dorante vole à son secours, déclare son amour : & voilà l’action en mouvement. […] L’Abbé d’Aubignac veut que les Auteurs prennent l’action à son dernier point : écoutons-le parler. […] C’est là que l’action commence.