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208. (1840) Le foyer du Théâtre-Français : Molière, Dancourt, I pp. 3-112

Quand une somme d’argent sera nécessaire à l’action, son personnage aura toujours sur lui la somme voulue. […] Une âme bien située ne commettrait pas une basse action en sortant d’une représentation du Misanthrope… Rousseau était donc bien malvenu à l’attaquer ; il a eu grand tort d’employer son éloquence à soutenir des paradoxes sur l’immoralité du théâtre. […] C’est une vengeance de Molière, une satire personnelle du grand homme, et, sans le charme du style, on s’apercevrait d’une certaine langueur dans l’action.

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