Ce n’est pas que ses pièces soient régulières, il s’en faut de beaucoup; ce ne sont pas même de véritables drames, puisqu’il n’y a ni plan ni action : ce sont des scènes détachées qui en font tout le mérite, et ce mérite a suffi pour les faire vivre. […] Le scepticisme dont Regnard faisait profession est porté jusqu’à l’excès dans une épître où il s’efforce de prouver qu’il n’y a réellement ni vice ni vertu, puisque telle action est criminelle dans un pays et louable dans un autre.