Molière, qui connaissait l’action par principes, était indigné d’un jeu si mal réglé, et des applaudissements que le public ignorant lui donnait. […] Je vous trouve bien hardis de vous opposer à de si belles actions ! […] doucement, répondit Molière ; ce n’est point ici une affaire à entreprendre mal à propos : c’est la dernière action de notre vie, il n’en faut pas manquer le mérite. […] Je me suis donc renfermé dans les faits qui ont donné occasion aux principales actions de sa vie, et qui m’ont aidé à faire connaître son caractère, et les différentes situations où il s’est trouvé. […] Cette pierre est fendue par le milieu ; ce qui fut occasionné par une action très belle et très remarquable de cette demoiselle.