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122. (1772) De l’art de la comédie. Livre troisième. De l’imitation (1re éd.) [graphies originales] « CHAPITRE IX. » pp. 180-200

Moliere les a vues presque toutes, s’en est emparé, & les a traitées en grand homme : mais pourquoi n’a-t-il pas mis en action, sous les yeux du spectateur, le moment où la Princesse chante pour charmer son amant ? […] Oui, cette passion, de toutes la plus belle, Traîne dans un esprit cent vertus après elle : Aux nobles actions elle pousse les cœurs, Et tous les grands héros ont senti ses ardeurs.

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