dans des œuvres si compliquées, pour déplacer ainsi l’action et le drame, et pour faire reposer l’intérêt, non pas sur le héros principal, mais sur quelque subalterne tout boursouflé de ridicule et de bon sens ! […] — On n’a pas voulu me croire, s’écrie Sganarelle, qui depuis s’est payé de ses gages sur la succession de son maître… C’est vrai, on n’a pas voulu te croire, ami Sganarelle, parce que tes discours n’ont pas été d’accord avec tes actions ; parce que, tout en déclamant contre Don Juan, tu es resté dans son frivole voisinage de vices et de mensonges ! […] Proudhon et les villageois se mettent en marche, en chantant un cantique d’actions de grâces et… Ici s’arrêtent les strophes du chœur, le reste du chœur s’est perdu ; point de conclusion à tant de belles promesses que faisait Plutus à ces braves villageois qui doutent du nouveau prophète… Quelle étai£ la conclusion de ce chœur ? […] « En vérité, ses sentiments ont quelque chose de si divin, que je ne puis y penser sans être en de continuelles actions de grâces, et la marque du doigt de Dieu, c’est la force et l’humilité qui accompagne toutes ses pensées, c’est l’ouvrage du Saint-Esprit. […] — “Chemin de fer de Gretna-Green, dix milles à la minute, cent-vingt-cinq francs l’action !”