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118. (1868) Une représentation de M. de Pourceaugnac à Chambord. Examen de deux fragments inédits paraissant appartenir à l’œuvre de Molière (Revue contemporaine) pp. 700-722

Puis la pièce ne finit pas; cela est si vrai qu’à la Comédie-Française (du moins il y a 15 ou 20 ans encore) on terminait M, de Pourceaugnac en faisant apparaître, dans une loge de premier rang, l’artiste qui venait de remplir le rôle de Pourceaugnac, et il invitait les acteurs à lui rendre visite à Limoges. […] Molière, sentant que ses acteurs ne valaient pas, en tragédie, les comédiens de l’Hôtel de Bourgogne, s’avança sur la scène après la représentation, remercia le roi, et demanda l’autorisation de jouer une des deux petites comédies qui, en province, lui avaient acquis le plus de réputation. […] La pièce se développait peut-être un peu au gré des acteurs, comme il était d’usage dans la comédie dell’ arte.

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