Il pouvait représenter des scènes religieuses quand il était lui-même un acte religieux sous l’autorité de l’Église ; mais depuis qu’il était devenu profane et mondain, s’arroger le droit de prêcher, n’était-ce pas empiéter sur le domaine spirituel, sur les droits de l’Église ? […] Lorsqu’il est menacé d’un duel par Oronte, il n’hésite pas un instant et ne manifeste aucun scrupule pour un acte condamné par la loi religieuse et par la loi de l’État.