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241. (1877) Molière et Bourdaloue pp. 2-269

Les deux premiers actes passèrent avec langueur ; la bouffonnerie du pauvre homme fit à peine sourire. […] J’ai employé pour cela deux actes entiers à préparer la venue de mon scélérat. […] Il s’évertue à prouver que la morale pernicieuse débitée par Tartuffe au quatrième acte ne peut corrompre les spectateurs. […] Les actes des hommes n’ont aucune parité avec ceux des animaux. […] Voyez acte II, scène 2, toute la tirade de Dorine : … Cette vanité, Monsieur, ne siedpas bienavec la piété.

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