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177. (1812) Essai sur la comédie, suivi d’analyses du Misanthrope et du Tartuffe pp. 4-32

Comment pourra-t-il espérer raisonnablement d’intéresser pendant cinq ou au moins trois actes, absolument nécessaires pour le développement du caractère qu’il aura choisi2 ? […] S’il a quelque étincelle du génie qui a inspiré Molière, le premier acte de sa pièce offrira des beautés ; mais, malgré tout son talent, il succombera dans les suivants. […] Que de beautés dans ce seul petit acte ! […] Je passe ici sous silence quelques caractères d’un genre mixte qui ont fourni la matière d’une petite pièce en un acte, comme l’Impertinent, le Bavard, l’Indiscret.

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