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65. (1861) Molière (Corneille, Racine et Molière) pp. 309-514

Que sont les préfaces des tragédies de Voltaire, malgré tout ce qu’elles renferment de judicieux et de piquant ? […] On accuse Voltaire d’avoir ruiné la religion. […] Voltaire fit acte de franchise. […] Aussi ne faut-il pas s’étonner s’il y a aujourd’hui tant de Français qui ne voient de refuge contre Voltaire et M. […] Voltaire n’a-t-il pas dit que l’on reconnaît les beaux vers à ce qu’ils deviennent traduits en prose.

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