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11. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre IV. Que la critique doit être écrite avec zèle, et par des hommes de talent » pp. 136-215

Vous l’avez dit, vous l’avez nommé, l’enchanteur de Versailles naissant, le vrai poète de ces poésies, le collaborateur de ces grands poètes, l’homme le plus populaire et le plus aimé de cette cour qui s’abandonne à tous les enivrements de l’amour et de la gloire, c’est Lulli ! […] En ce moment, tous les colibris de Versailles chantaient la chanson des oiseaux de Lesbie : Je suis un Dieu ! […] Voilà donc comment se passait la vie à Versailles. […] Au quatrième acte (notez bien que voici tantôt sept ans que dure cette pénible intrigue), nous nous trouvons encore une fois dans les jardins de Versailles. Dans ces jardins de Versailles, nous retrouvons cette esquisse beaucoup trop travaillée, qu’on appelle Lauzun.

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