Car, après le sel un peu gros, mais bien gaulois, de Sganarelle (1660)16, et le drame un peu pâle de Don Garcie de Navarre (1661), il se produisit avec autant de vérité que de gaieté dans L’École des maris (1661)17, L’École des femmes (1662), La Critique de l’École des femmes 18, Le Festin de Pierre ou Don Juan (1665), Le Misanthrope (4 juin 1666), Le Médecin malgré lui, le Tartuffe (5 août 1667)19, Amphitryon (16 janvier 1668), L’Avare (9 septembre 1668), Le Bourgeois gentilhomme (1670) et Les Femmes savantes (1672)20. […] Dans L’École des maris, le travers de Sganarelle n’est pas son âge, mais sa dureté, son entêtement, son égoïsme.