Quand il parle de Sganarelle ou le Cocu, Petitot n’est pas plus heureux5 : « Quel sot, comment connait-il les sentiments de Molière, autrement que par son dire. […] Si c’est le prince lui-même qui lui fait cet honneur, il veut se plaindre, il s’avance fièrement vers lui, et, en approchant, le respect le saisit à la gorge (comme Sganarelle armé de pied en cap dans le Malade imaginaire, Grandmesnil), il ne peut plus que balbutier.