Racine, encore jeune, en pleine gloire, abandonne le théâtre, qui est condamné par l’Église, et se repent des désordres de sa vie. Les désordres de Racine ! […] On a dit bien des fois que Racine, pour composer ses héroïnes, n’avait eu qu’à regarder autour de lui. Eh bien, ces modèles que Racine avait sous les yeux, Molière les connaissait aussi. […] Supposez, par exemple, la célèbre Mlle de Scudéry assise un instant entre Molière et Racine, Racine y prend le portrait de Bérénice et Molière celui de Philaminte.