Horace m’apprend à juger de Plaute : At nostri proavi Plautinos et numeros, etIbid. vers. 270 et seq. […] Serait-ce la basse plaisanterie de Plaute, que César aurait voulu trouver dans Térence ? […] Ainsi malgré l’exemple de Plaute, où nous lisons : cedo tertiam, je soutiens contre Molière, qu’un avare, qui n’est point fou, ne va jamais jusqu’à vouloir regarder dans la troisième main de l’homme qu’il soupçonne de l’avoir volé.