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9. (1881) La philosophie de Molière (Revue des deux mondes) pp. 323-362

Et lorsque, au risque de faire rire Philinte, il préfère la vieille chanson au sonnet alambiqué, n’a-t-il pas encore cent fois raison ? […] Dira-t-on de Célimène, comme Rousseau l’a dit de Philinte, que c’est le sage de la pièce ? […] Philinte fut pour lui comme un ennemi personnel qui rabattait ses prétentions à la vertu et sa fastueuse misanthropie. […] Il voudrait le défendre de la fausse Célimène, comme Philinte défend Alceste de la vraie. […] C’est une sorte de fusion entre Alceste et Philinte.

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