L’indulgent Philinte qui, sans aimer ni censurer les hommes, souffre leurs défauts, uniquement par la nécessité de vivre avec eux, et par l’impossibilité de les rendre meilleurs, forme un contraste heureux avec le sévère Alceste qui, ne voulant point le prêter à la faiblesse de ces mêmes hommes, les hait et les censure, parce qu’ils sont vicieux.