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64. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre V. Comment finissent les comédiennes » pp. 216-393

le jour où Valère s’appelle Orgon, est plus dur cent fois que le jour où M.  […] M. Orgon ; Damis a été son parrain, et dans cette importante affaire M.  […] M. Orgon ou de M.  […] Célimène en est couverte, madame Orgon n’en a jamais porté, non plus que mademoiselle Lucile ou madame Jourdain. […] Lucinde, cette folle, est désormais convaincue, et obstinée en ses convictions à ce point que l’obstination d’Orgon pour Tartuffe n’est rien, comparée à l’obstination de Lucinde pour Moncade.

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