Des éditeurs de Molière en ont altéré le texte sans nécessité ; je le rétablis d’après l’édition originale. […] Molière fit une seule fois ce que Benserade faisait sans cesse. […] La troupe de Molière, fâchée sans doute d’avoir été devancée deux fois, mais estimant que la curiosité publique n’était pas encore épuisée, pressa Molière de faire à son tour parler et marcher la statue du commandeur ; et Molière, disposé en tout à se sacrifier aux intérêts de ses camarades, composa un troisième Festin de Pierre, qui fut représenté le 15 février 1665. […] « À quoi songiez-vous, Molière, quand vous fîtes dessein de jouer les tartuffes ? […] Historien des travaux de Molière, je rapporte un fait ; et critique, j’en examine les conséquences littéraires.