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25. (1852) Molière, élève de Gassendi (Revue du Lyonnais) pp. 370-382

En traduisant Lucrèce, Molière faisait suite aux grands travaux de son maître sur la philosophie d’Épicure. […] La perte de la traduction de Molière est sans doute beaucoup plus digne de regrets. […] Que d’autres Pancraces depuis Molière, n’avons-nous pas entendus ! […] Mais Molière ne lui donne-t-il jamais raison que contre les travers et les ridicules réels d’Alceste ? […] Est-ce le sentiment de Molière sur la physique de Descartes, qu’exprime Bélise ?

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