[26178, p. 53] 1724, Carpentariana, p. 46 Molière disait que « le mépris était une pilule qu’on pouvait bien avaler ; mais qu’on ne pouvait guère la mâcher, sans faire la grimace ».
[26178, p. 53] 1724, Carpentariana, p. 46 Molière disait que « le mépris était une pilule qu’on pouvait bien avaler ; mais qu’on ne pouvait guère la mâcher, sans faire la grimace ».