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210. (1853) Histoire de la littérature dramatique. Tome II « Chapitre VI » pp. 394-434

De ce monde à part la comédie était à faire, et si Molière l’a tentée, il ne l’a pas faite ! Il n’a pas voulu… il n’eût pas osé dépasser les petits marquis, ce grain de sable, dont le roi avait dit à Molière : tu n’iras pas plus loin ! […] La comédie eût-elle inventé ce billet-là, du temps de Molière ? […] C’est cette même voix qui aujourd’hui encore, en songeant à cet accent plein, sonore et d’un si beau timbre, vous fait paraître plus charmants les plus beaux vers de Molière. […] adieu, pour jamais ; adieu à ce beau geste que j’aimais tant ; adieu à cet esprit si fin qui s’en va d’où il est venu, qui retourne à Molière !

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