1775, Anecdotes dramatiques, tome I, p. 356 Molière joua d’abord Cotin, sous le nom de Tricotin, que plus malicieusement, sous prétexte de mieux déguiser, il changea depuis en Trissotin, équivalant à trois fois sot. […] Cette anecdote fut reprise chez Bruzen de La Martinière dans Les Œuvres de M. de Molière, 1725 et également dans Les Mélanges historiques d’un auteur inconnu, 1718 (Pierre Bonvallet, Molière de tous les jours, p. 242-244).