1775, Anecdotes dramatiques, tome III, p. 349 Molière était désigné pour remplir la première place vacante à l’académie française. […] Molière n’aurait plus joué que dans les rôles de haut comique : mais sa mort inattendue le priva d’une place bien méritée, et l’académie d’un sujet si propre à la bien remplir.